Depuis Pâques 2024, nos lettres semestrielles ont fait peau neuve pour que tous nous poursuivions la “bataille de l’intelligence” lancée en son temps par Jean Madiran. Depuis lors, les Cahiers ad Lucem sont nés avec l’objectif de nourrir les lecteurs de réflexions plus fréquentes sur des thèmes variés, profonds, essentiels. Après les premiers numéros consacrés à l’importance de la lecture, aux figures d’Ernest Psichari et de Charles Péguy, à l’univers de Marcel Pagnol, Notre-Dame de Paris a été célébrée à l’heure de sa renaissance. L’aventure continuera ainsi au cours des prochains mois et années… telle une “promenade” trimestrielle dans la culture française et ses richesses.
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La renaissance de Notre-Dame de Paris
« On ne dit rien d’essentiel sur la cathédrale, prévenait Saint-Exupéry, si l’on ne parle que des pierres. » On a tout dit sur Notre-Dame, même l’essentiel, avant et après le soir fatidique du 15 avril 2019 : tout sur sa splendeur et son histoire, sa symbolique et ses trésors, ses sauveteurs et ses reconstructeurs…
Une fontaine de jouvence
1895. « Je suis né à Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers », ainsi se présente Marcel Pagnol à la première ligne de La Gloire de mon père…
D’un siècle l’autre
La plume et l’épée. Péguy et Psichari. Sous l’âme vibrante de l’un et de l’autre, c’est l’écrivain comme le soldat qui pointe, qui s’impose, qui séduit. Qui aurait pensé que le petit-fils de Renan devienne serviteur de l’Église ? Qui eût cru que le socialiste Péguy, conduit par la main de la petite Jeanne, aurait offert sa prose frémissante à la gloire de l’Église et de ses saints ?
Le livre ! Toujours à la page !
« Il n’est pas nécessaire de brûler les livres pour détruire une culture. Il suffit que les gens arrêtent de les lire, » annonçait Ray Bradbury dans son ouvrage visionnaire Fahrenheit 451 paru en 1966…