Ma grand-mère maternelle – qui avait cinq filles et deux fils – a dit : “Mes filles, ne vous inquiétez pas au sujet de vos futurs maris. Dieu a déjà choisi pour chacune d’entre vous. Vous n’avez qu’à prier”. Ma grand-mère a dit à ses fils et à ses filles qu’ils ne trouveraient pas leurs futurs époux dans les soirées dansantes. Elle considérait qu’il n’était pas seyant pour un catholique de chercher un futur conjoint dans les soirées dansantes, alors ses enfants ont obéi.

Monseigneur Schneider (1961)
Évêque auxiliaire de l’archidiocèse d’Astana au Kazakhstan

« Je n’ai jamais eu de problèmes psychologiques au cours de ma vie. Je crois que c’est parce que j’ai reçu beaucoup d’amour de mes parents et que leur mariage était très harmonieux. J’ai grandi dans un foyer très harmonieux. Mon père ne fumait même pas ! Il nous était très dévoué. Mes deux parents nous ont donné, à nous leurs enfants, l’exemple d’une vie en pleine cohérence avec la foi catholique. Je peux dire que le cœur de mes parents était dans l’Eucharistie. Ils nous ont appris à aimer et à vénérer profondément la Sainte Eucharistie. Même au temps de leur vieillesse, ils ont toujours insisté pour recevoir la Sainte Communion à genoux. Lorsque mon père n’a plus été en mesure de le faire, à cause de problèmes de genoux, son regret a été d’être contraint de recevoir la Sainte Communion debout. »

Monseigneur Schneider (1961)
Évêque auxiliaire de l’archidiocèse d’Astana au Kazakhstan